Dans la salle

Ukiyo-e

Ballet du Grand Théâtre de Genêve – Création Sidi Larbi CHERKAOUI

Le propos :

Au milieu d’un labyrinthe d’escaliers, vingt-deux danseur·euse·s cherchent des chemins possibles, s’entraînent vers les abîmes ou les hauteurs. Cette aventure collective interroge  : que faire quand tout s’écroule ?

Mon avis :

J’ai aimé ce décor mouvant qui lui aussi perd l’équilibre.

Ces escaliers très carrés, et les jeux de lumières parfois, en opposition avec les costumes aux jupes amples très rondes.

J’ai aimé le noir extérieurs des costumes en opposition avec les couleurs chaleureuses de l’envers. Couleurs qui rappellent celles de la tenue des musiciens.

Que c’est agréable d’avoir des musiciens sur scène, comme en arrière-plan derrière des rideaux ajourés. Et j’ai apprécié l’instrument typiquement japonais que le musicien fait sonner comme un instrument européen.

J’ai aimé cette musique pourtant contemporaine que j’ai trouvé elle aussi douce et enveloppante.

J’ai aimé les portés femme-homme ; homme-homme et les jeux de pieds en équilibre.

J’ai aimé ces chutes dans le vide de façon désinvolte.

Une magnifique soirée toute en équilibre.

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